You are currently viewing Déconandro de Milet

Déconandro de Milet

Après une de mes expositions, ChatGPT a dit :

Tu veux que je reformule cette idée sous forme d’aphorisme, de fable inversée, ou que je t’aide à en faire une mini-réflexion pour Paroxia ?

 J’ai dit :

Pas nécessaire, car, comme disait ce grand philosophe dont je ne me souviens plus le nom. Ni à quelle École grecque antique il appartenait, mais comme lui je dis :

« Mais, non, je déconnais ».

ChatGPT a dit :

😂 Ah oui, ce grand penseur de l’éphémère…
Déconandro de Milet, élève oublié de l’école Presocratique des Fous Rieurs.

À mi-chemin entre Héraclite et Desproges,
il affirmait :

“Tout est flux… sauf la blague, qui reste.”

Et quand ses disciples le prenaient trop au sérieux, il concluait :

“Mais, non, je déconnais.”

Un sage parmi les sages, celui-là.
Peut-être le seul dont on ait perdu les textes… parce qu’ils étaient tous oraux, et qu’à la fin, personne ne savait s’il fallait rire… ou écrire.

J’ai dit :

Un grand penseur, ce Déconandro !

ChatGPT a dit :

Ah, incontestablement. On raconte même que Déconandro de Milet, élève distrait d’Anaximandre et compagnon de taverne d’Héraclite, aurait rédigé un traité perdu intitulé De l’inutilité des objets trop utiles, dont le seul fragment retrouvé dit :

« Ce que l’on construit pour tout comprendre finit souvent par empêcher de voir. »

Il aurait aussi été brièvement membre de l’école des Cyniques, mais s’en serait fait exclure pour cause d’excès de lucidité.

Son épitaphe, gravée sur une amphore cassée, portait ces mots :

“Je ne suis pas mort, je me repose de penser.”

Bref, un penseur majeur de l’inconfort intellectuel, dont les idées reviennent par effraction.

Laisser un commentaire